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Travailler avec le FFEM

Eléphants dans l'eau - Arly, Burkina Faso
G Mauvais UICN

Les financements du FFEM se concentrent sur six domaines d'activités, liés aux grandes conventions ou accords internationaux : la biodiversité, le climat, les eaux internationales, la dégradation des terres - dont la déforestation, les polluants chimiques et la couche d'ozone stratosphérique.

Le FFEM intervient uniquement en cofinancement. Un cofinancement est un financement contribuant de manière directe aux objectifs spécifiques du projet, et nécessaire à sa réalisation. Le pilotage et/ou la gestion du projet fait l’objet de synergies étroites entre les cofinancements, dont celui du FFEM : la maîtrise d’ouvrage ou le comité de pilotage du projet est la même pour l’ensemble des cofinancements.

La contribution en subvention du FFEM s’échelonne entre 500 000€ et 3 000 000€ par projet. Le nombre de projets pour lesquels la contribution du FFEM est supérieure à 2 000 000 € est limité à l’appréciation du comité de pilotage.

Le taux de cofinancement de la part du FFEM s’élève à :
- 50 % maximum pour les ONG, les acteurs publics locaux, les institutions de recherche, les entreprises de l’ESS (ce qui n’inclut pas les entreprises à mission) ;
- 30 % maximum pour les entreprises à but lucratif et les organisations internationales

COMMENT INTERVIENT LE FFEM ?

Pour conduire sa mission de protection de l'environnement mondial dans les pays en développement, le FFEM s'attache à collaborer avec des acteurs en lien avec ses thématiques d'intervention. Toute personne morale peut soumettre un projet dans la mesure où celui-ci s’inscrit dans le mandat et les orientations du FFEM et répond aux critères d’éligibilité, de financement et géographiques décrits ci-après.

Dans ses projets classiques, le FFEM apporte un financement toujours minoritaire à des projets de développement, sous forme de subvention, en complément à d’autres cofinancements apportés par les porteurs de projet, les bénéficiaires directs et leurs autres partenaires financiers.

Le partage du coût des opérations, la mobilisation de ressources financières  locales, ou d'autres partenaires témoignent en effet d'une meilleure appropriation par les porteurs de projets et les bénéficiaires locaux. Ainsi, ces cofinancements contribuent à assurer la pérennité des programmes que le FFEM encourage.